Subtile infamie, dans les pierres est la vie
Et tout autour, entend ces bruits!
Aspérités dures et tranchantes
La mort est t'elle si contondante?
Grossière caresse, dans la terre est le ciel
Pas un cadavre ne s'élève
Vers ces nuages tissés de miel
Elle n'est pas si belle, la trève
Dérimage sans raison
J'arrête ici mes mots maisons
Je perd en improvisation
Mais je gagne en télévision
A +
Aléric de Gans, fait des vers pour se détendre, mais ne finit point ses poèmes.