Quelqu'un pourrait-il m'expliquer l'insuccès flagrant du mutellisme au début du XIXème siècle, quand l'épargne connaît un tel succès?
Dès la fin de l'époque moderne, les grands défenseurs des sociétés de prévoyance, que sont Dupont de Nemours ou encore Condorcet, utilisent systématiquement la complémentarité entre les caisses d'épargne et l'instruction populaire pour remplacer les secours publics.
BRef, j'aurais besoin d'un avis scientifique, construit et documenté. La thèse de Catherine Duprat m'éclairera sans aucun doute, mais en attendant, j'ai besoin de vous.
Le pauvre est il inadapté à un système de mutuelle? Je veux dire par là, l'ouvrier est il si dangereux, si insatisfait, si bête, que cette pratique se révèlerait inutile à l'aider?
Et pourquoi cette question de la vieillesse hante t'elle la société française depuis tant de temps? Depuis, à dire vrai, que l'espérance de vie s'est considérablement élargie. Pourquoi, à partir du moment où il y'en a eu, les vieux ont ils été source de problèmes?
Je m'égaré, je disgresse.
Bref, pour vous, mutuelle ou épargne?